MAXIMILLIAN SAINT-CLARE PRÉDÉFINI

© Vesper

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Le personnage Nom :Saint-Clare; Prénom Maximillian ; Âge : 38 ans ; Date de naissance: 3 janvier 1834; Métier : Ministre de la Magie; Ancienne maison : Serpentard ; Pureté de sang Sang pur; Baguette magique: Bois de roseau, coeur de serpent, 35, 6 cm; Physique : description ici Caractère : Ici, nous vous demandons de peindre le portrait psychologique de votre personnage, soit en soulignant quelques évènements marquant dans sa vie qui l'ont fait développer d'une certaine façon, ou bien en énumérant certaines de ses manies. Nous avons hâte de vous lire Assurez vous que ce soit un minimum de 15 lignes, soit autour de 200 mots

L'Histoire Minimum 30 lignes

C’est en gravissant des échelons de pouvoir que cet homme a formé son histoire. Qui l’aurait cru? Souvent, dans les grandes familles de sang-purs personne n’attend des prodiges de la part du fils cadet. Ce fut le cas pour Maximilian. Son ainé, Sylvester, par son caractère stable et obéissant, promettait à leurs parents des exploits dignes du nom des Saint-Clare alors ils n’avaient aucune attente envers leur plus jeune fils. Certes, il devait tout de même être bien élevé et ne pas causer de soucis à sa famille; il devait serrer la main des grands sorciers et baiser celles des jolies sorcières au sang pur. C’était impératif qu’il trouve un bon ménage, puisque tout l’argent familial allait se faire hériter par Sylvester. Mais cela ne l’inquiétait pas. Si c’était pour plaire à sa famille, alors il n’avait rien à redire.

Son enfance ne fut pas assez remarquable à noter, à part le fait qu’il obtint le contrôle de ses pouvoirs très tôt. Son adolescence, en revanche, peut témoigner très fortement sur la formation de son caractère. À Poudlard il fut projeté contre la discrimination des sangs-purs. Il avait quatorze ans lorsque Harry Potter causa la chute terrible de Voldemort. Ce fut des temps difficiles, mais Maximilian s’en sortit avec élégance et avec ruse. Il n’était pas batailleur, mais plutôt calculateur. S’il n’avait pas été réparti chez les Serpentard, il aurait bien trouvé sa place chez les Serdaigles, puisqu’il avait un amour profond pour l’acquisition du savoir. Il savait tout de tout le monde dans son école. L’information était sa clé au monde intangible du pouvoir. Il se faisait passer pour un gentil sang-pur, honteux de la conduite de ses ancêtres. Paré de cette mascarade, il devint vite populaire. Son frère, dont tout le monde espérait tant de choses, se retrouva seul avec ses idéaux puritains. Il ne comprenait plus son frère; il croyait qu’il s’était retourné contre la famille. Mais il se trompait : Maximilian n’avait pas encore dévoilé son jeu. Il n’éprouvait pas de dégoût pour sa popularité peu commune et profitait avec discrétion de ses camarades impurs. Avec son charisme et son charme naturel, il obtenait plusieurs faveurs; c’est comme ça qu’il était toujours au courant de tout sans n’avoir rien vu
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Il gradua avec des notes excellentes et devint médicomage, à la grande stupeur de tous. Ce ne prit pas longtemps avant qu’il devienne chef de son département. Ce fut également très rapide pour que ses parents lui filent une alliance sur l’annulaire gauche. Il maria Clementia Waldroff, une jolie blonde de dix-neuf ans. Elle fut une rédactrice pour la gazette du sorcier avant de devenir femme à la maison après son deuxième enfant.

Puisqu’il entretenait des relations conviviales avec tous ses collègues et qu’il était un médecin talentueux, Maximilian ne reçut que les meilleures recommandations de ses supérieurs lorsque Kingsley Shacklebolt, le Ministre de la Magie, annonça qu’il cherchait un nouveau médicomage personnel. C’est ainsi que le cadet des Saint-Clare devint un personnage important dans le cabinet du Ministre. Lorsque celui-ci prit sa retraite, Maximilian se retrouva dépourvu de son unique patient. Il retrouva ses connections de familles sang-pur et se fit des alliés. Ils découvrirent qu’après tout, il n’avait pas trahit ses origines et tenait fermement aux valeurs puritaines. Voilà pourquoi, après leur décision de monter une rébellion silencieuse contre le gouvernement, ils le désignèrent comme le candidat aux prochaines élections. Cela a parut étrange qu’un médicomage, un sorcier de la science décide de se lancer en politiques. Mais les voteurs l’acceptèrent parce qu’il avait été un intime du ministre précédent. Il remporta le vote puisque les discours de son adversaire, Harry Potter, avaient été trop fulgurants aux oreilles de la population magique. Son profil d’homme ordinaire apaisait les sorciers peu enclins aux changements que Potter leur promettait.

Maintenant il est Ministre de la magie. Puisqu’il n’a plus rien à prouver à personne, il peut arrêter de jouer la comédie. Les rennes du pouvoir en main, il compte bien réformer le monde magique et à sa façon. Il planifie déjà de poster son confident à la tête de Poudlard. Car pour recréer une société, ne faut-il pas commencer par l’éduquer à sa manière?

Chapitre premier
L'enfant

I

La mère de l'enfant enveloppait tendrement son poupon autant du regard qu'avec ses bras. Celui-là, il était à elle. Tout pour elle. Elle pouvait le chouchouter, l'élever à sa façon, le faire vibrer, le toucher, le caresser, le consoler, lui parler, l'aider, l'aimer. Au contraire de son frère. Sylvester était pratiquement intouchable. Elle savait cela. Elle l'avait su dès qu'elle avait rencontré son mari. Son garçon aîné de la famille allait devoir être élevé à part, pour ne pas être influencé par ses origines de sang-mêlé. Flora Saint-Clare n'était pas une née-moldue ni sang-mêlée. Mais elle n'était pas considérée sang-pure par la famille de son époux, car son arrière grand-père avait été un moldu. Cette tache l'avait dépourvue de son premier fils. Vous comprenez donc qu'elle était en admiration devant son deuxième enfant. Il était tout à elle car il n'était pas l'héritier. Celui-ci lui avait été enlevé peu après la naissance et placé chez sa grand-mère paternelle. Cela l'avait démolie. Mais voici qu'elle tenait un autre fils. SON fils. Maximillian. Le plus grand, car il serait véritablement la plus grande joie de sa mère. Et plus tard la plus grande fierté de son père...

II

UC