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 Une Moldue parmi les autres

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AuteurMessage
Abigaëlle Calleghan

Abigaëlle Calleghan
Messages : 57
Date d'inscription : 18/05/2013
Age : 29

Carte Chocogrenouille
Âge du personnage: 21 ans
Double-compte: Victoire
Travail/Etudes: Serveuse au Bout du Monde

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MessageSujet: Une Moldue parmi les autres   Une Moldue parmi les autres Icon_minitimeSam 18 Mai - 6:01


Abigaëlle Calleghan
Inventé

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Une Moldue parmi les autres 0311



Le personnage

Nom : Calleghan ; Prénom Abigaëlle ; Âge : 21 ans ; Date de naissance: 13 juin 2001; Métier : Serveuse ; Ancienne maison : Aucune ; Pureté de sang Moldue ; Baguette magique: Aucune ;


Physique :

Parlez-moi un peu de comment vous vous voyez, comment vous vous percevez dans un miroir.

" Vous demandez ça à tous vos patients ou juste à moi parce que je vous attire ? Je rigole. Vous voyez, mon humour est spécial comme je vous l’ai dit. Sincèrement, c’est un peu une question bidon votre truc… Ce que je vois ? Une brune, un peu maigre, avec des grands yeux verts et un petit nez. Peu de forme, peu de vie sur mon visage, peu de couleur. Vous voulez que je vous dise quoi de plus, moi ? "

Ce que vous aimeriez changer, peut-être ? Ou ce qui vous plais le plus, que sais-je. Parlez-moi de la perception que vous avez de votre corps.

" Je ne changerais pas grand-chose. J’aime ne pas avoir de forme, j’aime mes longs cheveux bruns ondulés, j’aime mon visage mince, presque émacié. J’aime beaucoup mon ventre et mes cuisses musclés. Je ne crois pas que je changerais beaucoup de chose, peut-être une forme de sourcils, un peu plus de pulpe sur mes lèvres. Un peu plus de fesses me plairait assez je dois avouer mais ça me perturberait un peu trop à mon goût. Quant à la perception que j’ai de mon corps, j’ai pas de réponse. Le mieux c’est quand je le perçois pas. Ça veut pas dire que j’aimerais mourir hein, faites gaffe à pas mal interpréter. J’aime planer en fait, plus rien sentir, être sur mon petit nuage. Je fais ça rarement, les codes sociaux sont assez chiants à ce sujet et j’essaie de ne pas avoir de casier judiciaire. En fait, mon corps c’est mon objet de travail. Ou ça l’était. Ça l’est encore occasionnellement. Bref, je veux dire par là que je me fiche un peu de comment il est tant qu’il ne change pas et qu’il me permet de gagner du fric. Il parait, d’après les photographes, que le plus attirant c’est mes yeux. Perso, je m’en contre-fous. Ça pourrait aussi bien être mes orteils que le lobe de mon oreille que ça ne changerait absolument rien à ma vie. Vous voyez ce que je veux dire ? J’ai pas de style non plus. Je pourrais passer du BCBG au gothique en passant par la pétasse de bas étage et par le look hipster. Et je ne porte de maquillage que pour les séances photos. Le reste du temps je suis naturelle. Ça peut paraitre en contradiction avec ce que j’ai dit par rapport au look de pétasse mais bon, je fais certaines exceptions quand je m’ennuie vraiment. Le seul truc qui ne change presque jamais c’est mes cheveux. Je les attache pas. J’aime bien leurs boucles donc je les laisse comme ça. Ça vous apporte rien du tout de savoir ça hein ? "

Les moindres détails sont intéressants pour le psychologue que je suis, mademoiselle.


Caractère :
" Mon caractère ? On dit qu’il est bien trempé mais je dirais juste que j’ai du répondant. Quand on essaie de me forcer à faire quelque chose, en général on se prend un poing dans la figure, quand j’ai la flemme de sortir mon couteau pour me défendre. Comment ? Oui je me promène toujours avec un couteau. Comme je vous l’ai expliqué dans mon histoire, j’ai une grande méfiance envers les hommes. Alors oui, j’ai toujours mon couteau dissimulé sur moi.
Des points positifs ? Eh bien, j’ai du répondant. Ah, un autre point positif ? Laissez-moi réfléchir… Je suis dévouée. Quand on gagne ma confiance, c’est pour la vie. Mais si on vient à la trahir, alors là, on fera connaissance avec mon répondant. Pourquoi être aussi froide et distante, d’ailleurs ? Peut-être parce que, quand on vous brise le cœur de multiple façons et ce pendant des années, ça laisse des traces et vous vous construisez une carapace en glace. Me voilà repartit sur mes points négatifs… Vous n’oublierez pas de noter que je suis une pessimiste n’est-ce pas ?
Oui oui, mes côtés positifs, je sais. Alors… Je ne suis pas quelqu’un de confiance, non. Je ne suis pas non plus quelqu’un sur qui on peut compter à toute heure de la journée. N’essayez même pas de m’appeler au milieu de la nuit car si vous me réveillez, vous en prendrez pleins la gueule. Oh, et je suis rancunière. Arrêtez de désespérer Monsieur le Psy, je vais trouver des points positifs ! Je suis… Drôle. Avec un humour spécial mais je suis drôle. Et sympathique. Si vous faites partis de mes amis bien entendu. En fait, on pourrait dire que je n’ai pas de caractère… Je suis un peu j’m’enfoutiste sur les bords, vous pourriez vous étouffer sous mes yeux que je ne bougerais pas le petit doigt pour vous aider si je n’ai rien à y gagner. Opportuniste ? Oui, certainement un peu. Avare ? Non, ça non. J’aime l’argent, je ne m’en cache pas, mais aider mes vrais amis en leur prêtant de l’argent, ce n’est pas un problème. Je paie même les verres en boîte, lorsque quelqu’un me plait. "

Vous êtes complexe, mademoiselle Calleghan…


L'Histoire
Minimum 30 lignes

    Ah, Amsterdam ! Ces ponts qui enjambent les dizaines de canaux qui traversent les rues, cette ambiance chaleureuse de nuit comme de jour, les fameux coffeshop et le quartier rouge ! Une ville de détente, de fun et de jeunes qui ne viennent que pour faire la fête. Une ville où la plupart des habitants ont touché à la drogue, y touchent encore ou ne peuvent plus y toucher. Une ville où vous pouvez disparaitre dans la foule sans qu’on vous retrouve. Une ville où une fille de l’est qui se prostitue n’est que routine. Une ville où certaines filles ne sont même pas déclarées…

    Je suis née dans cette ville. Ma mère était une putain, oui. Je suis partie loin d’elle dès que j’ai pu le faire et je n’ai jamais eu de ses nouvelles. Mais commençons par le commencement :

    Maman… Pourquoi tu dois aller travailler ? Pourquoi papa ne rentre à la maison que quand tu n’es pas là ?

    Ma mère me regarda, les yeux vides. Elle attrapa son sac, ses clés, posa un baiser sur mes cheveux et sortit. Comme tous les soirs depuis que je suis née, ma mère a le même rituel. Jamais un jour de congé, jamais une soirée de répit. Chaque soir, sans exception, ma mère sortait, allait se faire sauter par quelques types qui la payaient puis revenait au petit matin. Là, elle posait un baiser sur mon front, pensant que je dormais, puis elle allait à la douche pour retirer cette odeur de sueur et de tabac froid. Et moi, les yeux grands ouverts, je l’écoutais chantonner sous la douche. J’écoutais cette femme se laver, se sécher les cheveux puis aller dans la cuisine pour préparer mon petit-déjeuner. Tous les matins, j’avais envie de vomir car je savais ce qu’on allait me dire, à l’école :

    Tu sais quoi ? Mon père a vu ta mère, hier soir. Il a dit qu’elle marchait pas droit.

    Ah ouais ? Sûrement parce qu’un italien y est allé trop fort, n’est-ce pas Abigaëlle ?

    Et moi, je faisais la sourde oreille. Je rabattais ma capuche sur ma tête, baissais les yeux et continuais mon chemin. Je m’en fichais de ce qu’ils disaient. Je savais que si ma mère faisait ça, c’est qu’elle n’avait pas le choix. C’était pour nous faire vivre qu’elle… passait la nuit dehors. Et mon père. La bonne blague, mon père. Je ne sais même pas s’il est vraiment mon père, soit dit en passant. En tout cas, il ne revenait à la maison que tard, quand Maman était déjà partie. C’est lui qui me préparait mon diner, me mettait au lit et qui n’était déjà plus là le lendemain à mon réveil. On s’habitue à ce rythme de vie, bizarrement…

    Les années passant, je commençais à en avoir marre. Ma mère était proche de moi, je n’avais pas à me plaindre… Mais son mac n’était pas loin non plus. Il me trouvait très à son goût, parait-il. J’avais envie de vomir à chaque fois que je voyais sa sale face de rat aux dents pourries par le cannabis. Cette ville est une ville maudite… Elle m’a enlevé mon enfance innocente bien trop tôt et m’a balancé dans le monde adulte alors que les filles de mon âge jouaient à la poupée dans les quartiers soignées. Je ne supportais plus de voir ces foutus néons rouges lorsque je rentrais chez moi. Oui, l’appart est correct, rangé et propre. Oui, la climatisation et le chauffage fonctionne, l’eau chaude et courante sont dispo… Mais l’odeur du shit dans tout l’appart, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, je n’en pouvais plus. Heureusement pour moi, mon école était loin de la maison. Je grandissais, passais de moins en moins de temps chez moi, je préférais sortir. Me défouler. Me vider la tête. J’avais même réussi à me dégoter un copain. Plutôt friqué, comme type. Sympa, beau gosse et friqué. Que demander de plus ? Ah oui, je sais… Qu’il me satisfasse.

    Je ne comprenais pas pourquoi je n’arrivais pas à l’aimer. Il était intelligent, il avait de la conversation, ce n’était pas un caïd et il était assez respectueux. Alors pourquoi mon cœur était fou de sa sœur ? C’était à n’y rien comprendre… Lorsqu’il me faisait l’amour, je pensais à sa sœur. Sa sœur nue, que j’avais surprise sous la douche, une fois. J’avais dix-sept ans et la seule chose à laquelle je pensais quand mon mec me baisais, c’était : putain, Sarah était trop sexy avec les gouttes d’eau qui dégoulinaient sur le sol. Je me croyais folle. Je me dégoûtais. J’avais décidé d’aller voir un psy mais Karl n’était pas d’accord. C’est là que tout avait dégénéré, je crois…

    Flashback

    T’es conne ou quoi ? Abi, tu veux voir un psy ? Mais pourquoi ? C’est inutile, complètement stupide, une perte de temps !

    Je ne relève pas, continuant de lacer mon corset. J’enfile mes chaussures et lui continue de gueuler. Il gueule tellement que je ne l’écoute même plus. Je commence à connaitre, le baratin. Il est chiant, il gueule, il se lève et je vois sa main partir. Je n’ai absolument rien compris. Depuis quand ose-t-il me frapper, ce connard ?

    T’as fait quoi, là ?

    Je t’ai frappé pour que tu reprennes tes esprits. J’ai d’autres moyens, si tu veux. T’es vraiment conne. Je t’interdis d’aller voir ce psy !

    Et depuis quand tu me donnes des ordres, hein ? Je t’appartiens pas.

    Non, ça, c’est sûr. Je me demande même si t’es pas comme ta mère, en fait.


    Là, c’est plus fort que moi. Mon poing part tout seul et fait une rencontre… fracassante avec la mâchoire de Karl. Ce dernier attrape mes poignets, me lance sur le lit et maintient mes mains en-dessus de ma tête. Je me débats… C’est tout ce dont je me rappelle. Après, je me réveille, j’ai mal partout. Je vois Karl, qui dort à côté de moi. Mon psy m’a dit que j’avais « enfermé ces souvenirs au plus profond de mon subconscient pour qu’ils ne me fassent pas souffrir ». Mais j’ai forcé ma mémoire. Je me suis souvenu. Et j’ai pris mon couteau. Je voulais le lui planter dans le cœur ou dans la nuque. Mais je lui ai juste lacéré le bras. De haut en bas. Quand il s’est mis à hurler, je suis partie. Je suis passée à l’appartement, j’ai tout embarqué, et je me suis tiré. Je ne savais même pas où aller ! Mais bon, j’ai sauté dans un train et une fois à l’aéroport, je n’ai pas trop eu de problème pour prendre un avion.

    Je suis arrivée à Londres. J’étais partie sur un coup de tête, je ne savais absolument pas quoi faire. Puis, je suis tombée sur une annonce : Cherchons mannequin atypique. Je me suis présentée. C’est vrai qu’avec ma peau plus que pâle, mes cheveux d’un brun caramélisé et ma minceur presque inquiétante, j’étais plutôt atypique, non ? En tout cas, le photographe a adoré. M’a adoré, plus précisément. Il a pris quelques clichés, ils étaient réussis. On a continué à bosser ensemble quoi… 5 mois ? A peu près, oui. Avant que ça commence à devenir bizarre. Il me demandait de plus en plus souvent de posée presque nue ou nue. Sur le principe, ça ne me gênait pas car il y a des commandes publicitaires pour ça. Mais rarement. Environ… Je ne sais pas moi, 2 fois par mois. Alors au bout de trois fois dans la semaine, j’ai trouvé ça louche. Je suis partie. J’avais amassé assez de fric pour un petit détour à Berlin. J’ai été dans une boîte de nuit vraiment spéciale… Comment elle s’appelle déjà ? Ah oui, le Kit-Kat club.

    J’allais sur mes dix-neuf ans, j’étais dans une nouvelle ville et je me retrouvais dans une boîte où tout était permis. Absolument tout, oui. Je me suis retrouvée dans le même lit qu’un mec et deux miss. Bizarrement, je me suis tout de suite tournée vers la noiraude plutôt que vers le type. Je ne m’étais plus posé de question sur ma sexualité depuis Karl mais là, j’étais face à un type pas mal du tout, une beauté fatale et une fille… normale. Et j’ai préféré faire l’amour à la fille « normale »… Me revoilà pleine de doute. Je saute de nouveau dans un avion. La fuite en avant, vous connaissez ? Bah moi oui. Dès que la question « suis-je lesbienne » me revient en tête, je saute dans un avion, direction inconnue ! Et là, je me suis retrouvée au Japon. C’est tellement beau et calme, le Japon. Les cerisiers en fleur, c’est magnifique.

    J’y ai passé quelques mois… Huit ou neuf, je ne sais plus. Je me suis prise d’amitié pour un gosse, un ado. Il était vraiment adorable, très sympa, drôle et il m’aidait beaucoup. En fait, il me servait un peu de traducteur parce que, le japonais, c’est vachement dur comme langue ! Je me suis donc liée d’amitié avec ce gosse. On parlait beaucoup, riant de tout et de rien. Puis, un beau jour, il m’a invité en boîte. Les japonais n’ont peut-être pas l’air comme ça mais ils sont super dépravés quand ils savent où aller ! Et cette boîte, c’était quelque chose. Une boîte gay, oui. Je ne savais pas que mon petit Kim était gay mais une fois dit, ça paraissait évident. Bref, on a passé une super soirée. Puis deux. Puis trois… Finalement, je connaissais presque tout le monde dans la boîte. Et je suis tombée amoureuse.

    Tina était tellement belle avec sa peau de pêche, ses yeux noirs profonds et sa chevelure de jais. En fait, elle était mon parfait opposé. Ça doit sûrement être pour ça que ça n’a pas fonctionné entre nous. Nos caractères aussi étaient opposés. Elle était calme, douce, là où j’étais emportée et colérique. Elle me disait de rester zen alors qu’elle savait parfaitement que ça m’était impossible. On a donc décidé que, pour sauver notre couple, on allait faire un petit voyage en Afrique. Egypte, Maroc, Tunisie, bref toutes les stations balnéaires connues. Mais ça n’a rien arrangé, bien au contraire… Elle m’a retrouvée au lit avec notre masseuse… Cliché, hein ? Ouais, sûrement. Mais j’avais vingt et un ans, je ne voulais pas rester cloitrée dans une relation ! J’ai été bête. On s’est disputée, ça a duré des heures. Finalement, j’ai fait ma valise et je suis partie. J’avais entendu parler d’un incident qui s’était produit à Londres. Une femme qui avait fait ce qui aurait dû être fait des années plus tôt, se battre pour une vraie cause. J’ai donc décidé d’aller voir.

    Quand vous passez d’un quarante degré à l’ombre de Tunis à un quinze degré en plein soleil de midi à Londres, ça fait quand même un choc. Je me suis trouvée un appart, un job de mannequin et je me suis inscrite à l’université. Pourquoi s’installer directement à Londres et pas à Tokio ? Parce que je suis tombée amoureuse de cette ville. C’est tellement beau et, malgré la température, la culture et les coutumes sont attachantes. J’y étais déjà venue une fois, certes, mais c’était tellement différent… Non, en fait, j’étais tellement différente que je ne voyais pas les choses comme je les vois maintenant.

    Bref, je me suis installée ici, je suis des cours de photographies et j’adore ça. J’arrive à refouler Amsterdam dans un coin de mon esprit, en compagnie de Karl et Tina. Mais je sais qu’un jour, il faudra bien que je m’excuse auprès de Kim qui a été un ange avec moi… Je travaille régulièrement dans un petit café près d’une université. Je fais les soirées, les après-midi parfois, mais jamais les matins. Je préfère dormir.

    C’est bon docteur, vous avez assez de chose pour ouvrir mon dossier médical maintenant ?

    Oui, largement, mademoiselle, largement…



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Lily L. Potter

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MessageSujet: Re: Une Moldue parmi les autres   Une Moldue parmi les autres Icon_minitimeSam 18 Mai - 12:11

Alright! Depuis le temps que tu en parlais !
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Mia Flavia Hobbes

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MessageSujet: Re: Une Moldue parmi les autres   Une Moldue parmi les autres Icon_minitimeDim 19 Mai - 8:51

Re bienvenue Vic!
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MessageSujet: Re: Une Moldue parmi les autres   Une Moldue parmi les autres Icon_minitimeDim 19 Mai - 13:08

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