Alicia Vanderkanp
Messages : 29 Date d'inscription : 19/06/2013
Carte Chocogrenouille Âge du personnage: 16 ans Double-compte: Scorpius Malefoy/Aaron Moore Travail/Etudes: 6ème années | Sujet: Deux personnalité, une personne. Alicia V Mer 19 Juin - 15:14 | |
| Alicia Rosalie Vanderkanp « Crée ton bonheur sur celui d'un autre » Nom : Vanderkanp; Prénom Alicia ; Âge : 16 ans ; Date de naissance: (Nous sommes en l'an 2022); Années d'études : 5ème, passe en 6ème année ; Pureté de sang Mêlée; Baguette magique: Bois d'Olivier Ventricule de Dragon 21cm inflexible;
« Les bonnes manières, être polie, dire bonjour, au revoir, ce tenir droit à table, savoir la différence entre quatre fourchette différente, pas de coude sur la table. Ont ma éduquer comme un robot et je regrette de ne pas avoir dit merde plus tôt »
Le mot crée est certainement le mot qui revient le plus dans la bouche d'Alicia quand on lui demande de parler d'elle même. Crée parce que, depuis toute petite, depuis le jour où elle eut ouvert les yeux elle fut contrôlée. Pour son poids, sa taille, ses cheveux, le moindre petit grain de beauté qui pouvait apparaître tout fut pris en note pas divers médecins, dames de service et autres personnes désignées pour prendre soin de la jeune fille. C'est sûr qu’en étant la fille unique d'un des hommes les plus riches de Grande Bretagne cela impliquait ce genre de traitement. On lui inculqua le savoir vivre et les bonnes manières avant même qu’elle n'eut passé la barre des cinq ans. Une petite fille modèle voilà ce qu'on attendait d'Alicia. Mais à force d'avoir voulu la rendre « parfaite » la jeune fille se forgea son caractère sur ce qu’elle n'aimait pas, devenu rebelle et capricieuse à l'âge de dix ans elle donna beaucoup de fil à retordre aux personnes devant l'éduquer. Ceci en devient un jeu, ne pas écouter, transformer les cours de savoir vivre en jeu de cache-cache avec les professeurs. Alicia ne mit jamais les pieds dans une école avant Poudlard, ayant eu à la place des professeurs à domicile, ce qui l'écarta en quelques sortes des autres enfants et ne savait pas vivre en communauté, n'ayant pas le droit de sortir de l'enceinte du château familiale. Alicia vécut cela comme une prison et plus elle grandissait plus elle haïssait cet endroit, ce mode de vie imposé par son père. Mi-ange mi-démon, voilà ce qu’elle devint. Gentille petite fille sage et agréable dans les dîners importants de son père, puis devenue capricieuse, joueuse et rebelle, en faire voir de toute les couleurs au personnel devenait une habitude.
Jusqu'à son entré à Poudlard Alicia dû vivre comme on avait décidé pour elle, ne pas avoir son mot à dire, se laisser faire, écouter et exécuter fut tout ce qu’elle avait le droit de faire. En arrivant à Poudlard, elle devient une vraie tornade, perfectionniste, tout ce qui doit être fait doit être bien fait, que ce soit dans le travail scolaire, dans toutes de sortes de bêtises, tout devra être bien fait. Joueuse, pour s'impliquer dans quelques choses il faudra lui présenter cela comme une compétition pour qu’elle se donne à cent pour cent dedans, voulant à tout prix gagner, Alicia est prête à tout. Réfléchie, quand la jeune fille veut quelques choses c'est un peu comme un défi qu’elle se donne à elle-même et va chercher, réfléchir, prendre en compte des choses et n'agira jamais sans avoir réfléchi. Quand il y a le moindre problème, Alicia sait faire bonne figure pour se tirer de ses galères et généralement elle préfère trouver des solutions seule aux problèmes qui la concernent. Hypocrite, la jeune fille sait plutôt bien faire ressortir son côté ange quand elle veut quelque chose, se faire bien voir ou veut simplement profiter de quelqu'un. Son côté démon ressort quand elle n'apprécie pas vraiment quelqu'un, elle ne se gène pas pour le montrer et essayera de pourrir la vie ouvertement à la moindre personne voulant l'ennuyer et n'arrêtera pas tant que celle-ci ne sera pas satisfaite. Sur son deuxième côté, Alicia aime jouer avec le feu, elle aime l'interdit, déjouer les règles qu'on lui impose depuis trop longtemps.
« Toute règle est faite pour est transgressée vous ne croyez pas Docteur ? »
« Vous savez ce que j'aime chez moi Docteur ? Mes yeux, car c'est la seule chose qu'ils n'ont jamais pu contrôler... »
Elle fut mesurée, pesée, on lui donna des médicaments pour stopper sa croissance pour ne pas qu’elle grandisse trop, son alimentation fut vérifiée à chaque repas. Tout, tout passa au peigne fin pour le physique d'Alicia. Voulant qu’elle soit absolument sublime à chaque grand repas où elle devait être présente, faisant office de vitrine pour les campagnes électorales de son père. Alicia a toujours détester tous ces médecin devant la faire passer sur une balance trois fois par mois, devant se retrouver à moitié nue devant un inconnu qui devait la garder pendant un bon quart d'heure tous les mois. Aucune intimité ne lui était réellement laissée. Pour faire passer chaque pilule de soin qu'on obligeait à Alicia d'avaler, son père lui offrait divers tenues de grandes marques, allant jusqu'à la haute couture, ne regardant aucun prix. La jeune fille en profita beaucoup, trouvant son quasi seul bonheur entre les mains de grand couturier Moldu. Mais aucun placard remplis de chaussures, robes, bijoux ne pouvait réellement remplacer l'amour d'un père absent et toute cette pression qu'on lui imposait sans le vouloir. C'est quand Alicia entra à Poudlard qu’elle trouva comment s'aimer. Aucun médecin, aucune visite de contrôle quotidien, aucun médicaments à prendre, rien, on ne l'obligeait à rien.
Un an à Poudlard lui suffit à adopter le physique qui lui plaisait, pouvoir laisser pousser ses cheveux, se maquiller et manger ce qu’elle voulait, la laisser en quelque sorte devenir une autre personne que celle qu'on avait toujours voulu rendre parfaite aux yeux de tous. Son caractère évolua et elle trouva la force de se rebeller contre les médecins, son père et réussit à trouver cette liberté dont on l'avait privé. Ce fut piercing aux oreilles, cheveux long, lisses, bouclés, attachés vite fait ou magnifiques coiffures. Habits sobres, simples ou courts, ouverts, transparents. Rien, personne ne pouvais plus rien dire à cela, ce fut une grande victoire, une victoire personnelle qui renforça Alicia, qui la rendit plus forte encore. Aujourd'hui la jeune fille mesure un mètre soixante-cinq, pèse quarante-trois kilos. Malgré tout certaines choses, manies, habitudes, resteront en Alicia, qui se prive beaucoup de fois de manger pour garder la ligne, faisant certaines fois de gros régime, s’abstenant de manger, prenant encore quelques fois des médicaments pour rester comme cela.
« … C'est pour cela que je les maquilles beaucoup, pour les faire ressortir, qu'on les voit, c'est un peu comme pour dire '' Tu vois connard, tu auras pas totalement réussis à faire ce que tu veux de moi.'' »
« Bon, très bien, je vais tout reprendre depuis le début, d'accord Docteur ? Je vais commencer par mon père ... »
Alexandre Venderkanp, Moldu, enceins homme politique de son temps, cinquante-sept ans aujourd'hui. Il est l'un des hommes les plus riche de Grande Bretagne, ayant hérité de la très grande fortune des Venderkanp et ayant plutôt bien gagné durant ses diverses campagnes électorales. Alexandre Venderkanp est un homme très fière, ayant une fille unique scolarisée dans l'une des plus grandes écoles privées du pays, marié à un mannequin absolument sublime et en plastique. Oui, Alexandre Venderkanp a absolument toutes les raison d'être heureux, affichant son plus grand et beau sourire à chaque photographe, exhibant sa femme dans diverses robes de haute couture. Mais la plupart du temps, on ignore ce qui s'est réellement passé il y a bientôt seize ans.
Un dîner important dans un des endroits les plus chics du pays, célibataires, photographes venant l'accueillir dès sa sortie de la voiture, tout annonçait une bonne et heureuse soirée. Le champagne fut servi dès que tous les invités furent arrivés, puis il fut servi à volonté tout au long de la nuit. Il y avait des rires, du bruit, de la musique provenant d'un piano, des serveurs en costume défilant avec des plateaux en argents, puis il y eu un sourire, éclatant, éblouissant, absolument sublime. Tout au long de la nuit ce fut un jeu de séduction qui se déroula entre Alexandre et cette jeune femme au magnifique sourire. Il prit fin à l'arrière de la somptueuse limousine des Venderkanp. Tout ce dont se souviendra notre homme, c'est du magnifique sourire de cette femme brune au regard clair. Cette fameuse nuit ne quitta jamais réellement la tête d'Alexandre qui remua ciel et terre pour la retrouver, mais qui n'y parvient pas, ignorant son prénom, son nom. Ne sachant rien d'elle.
Presque un an plus tard, il y eu un coup de téléphone et Alexandre Venderkanp fut convoqué dans un hôpital dans la journée. On lui tendit un bébé enveloppé dans une couverture rose et on lui annonça que c'était le sien. Une jeune femme brune était venue accoucher dans la nuit et avait pris la fuite vers midi, laissant une lettre sur son lit. La lettre était destinée à Monsieur Venderkanp où elle expliquait que c'était lui le père de l'enfant, qu’elle regrettait déjà son geste et qu’elle savait d'avance que son enfant était entre de bonnes mains. Alexandre fit de son mieux pour étouffer l'affaire auprès des médias, il mit du temps, s'organisa, mais fini par accepter son enfant. Il l'appela Alicia Rosalie. Le premier nom pour sa propre mère qui était décédée dans l'année précédente et le second nom c'était celui que la femme avait laissé aux infirmières quand elle était venue accoucher. Ignorant si celui-ci était vrai ou non, il le donna tout de même à sa fille. Au premier sourire d'Alicia, Alexandre fut certain que la femme lui ayant laissé cette enfant était bien la femme sublime qu'il avait rencontré un an plus tôt. Car sa fille avait exactement le même sourire magnifique que celle-ci.
En trois ans, Alexandre embaucha une dizaine de personnes pour s'occuper d'Alicia, des personnes devant contrôler sa santé, ne voulant pas que celle-ci souffre du moindre petit virus pouvant passer, il obligea des médecins à la contrôler quotidiennement. Malgré son travail qui prenait beaucoup de temps à Alexandre qui fit son possible pour voir sa fille le plus souvent possible et la couvrait de cadeau constamment.
Puis c'est quand Alicia eu atteint onze ans qu'une lettre arriva, dans cette lettre on lui expliqua que sa fille était dotée de pouvoirs magiques et qu’elle était admise dans une grande école qui la formerait à cette magie qu’elle avait depuis sa naissance en elle. Cette histoire de magie, Alexandre en avait déjà entendu parler, dans cette fameuse lettre écrite il y a des années de la part d'une femme inconnue qui lui avait donné son enfant. Il ne pouvait priver sa fille d'y aller et accepta tout de suite l'idée qu’elle puisse être sorcière.
« Un grand homme mon père n'est-ce pas ? Je rigole, il ne vaut pas mieux qu'un simple pion dans un jeu d’échec et je rêve du jour où je pourrais hurler '' Échec et Mat Papa''. Passons à ma mère maintenant... »
Amarillys Rosalie Don-Veilard, jeune femme qui aujourd'hui aurait eu quarante-quatre ans, décédée il y a dix ans. Sorcière descendant de parents sorciers, sang mêlée par sa grand-mère maternelle. Elle suivie une scolarité qui fut moldu jusqu'à ses onze ans où Amarillys reçut sans surprise sa lettre pour Poudlard. Elle y passa les sept années réglementaires et en sorti diplômée, pour la suite elle suivi une formation pour devenir Aurore et réussit une nouvelle fois. Indépendante, Amarillys passa une grande partie de sa vie en mission pour le Ministère, parcourir le monde, voyager pour chercher je ne sais quelle information, personne. Partir trois mois dans un pays où cette dernière ne connaissait pas un mot de la langue, juste avec pour information une personne à rechercher, juste ça suffisait à la combler. Ce fut à la fois simple et compliqué de suivre ce mode de vie qu'Amarillys s'était imposé.
Un jour cette dernière revenu de mission où elle venait d'échouer, on l'envoya à une autre tâche en Egypte, mais déçut et en colère de cet échec monumental, la jeune femme voulu passer dans son pays natale avant de repartir. Puis c'est en découvrant qu'une grande soirée privé serait donnée le soir même, une soirée qui réunirait Hommes Politiques moldus et autres grandes personnes connues et importantes que cette dernière utilisa sa magie pour entrer dans cette soirée. C'était beau, c'était chic, c'était presque incroyable. Dérober une robe de haute couture à une femme et prendre son invitation pour entrer la faisait aux yeux de la loi Moldu en délit et c'est cela qui lui plut le plus. Des hommes passaient à côté d'elle pour lui proposer bon nombre de coupe de champagne et tous n'eurent qu'une seul idée en tête. Elle découvrait un tout autre projet quand elle aperçut un homme qui la fixait au milieu de cette foule de snobe. Il était comme tous les autres hommes de cet endroit, bien habillé, bien coiffé, trop bien partout. Seul son regard lui plut et c'est juste avec un sourire qu’elle démarra un grand jeu de séduction entre cet homme et elle. Alexandre Venderkanp, son nom avait était inscrit en gros sur une photo de lui dans la rue et elle n'eut pas de mal à reconnaître l'homme avec qui elle avait passé la nuit le lendemain en se rendant au porte au loin qui devait l'envoyer en Egypte.
Puis les mois passèrent et la jeune femme dû se rendre à l'évidence, elle était enceinte. Pas besoin de chercher pour savoir qui en était le père. Cela ne l'arrêta pas dans sa mission pour autant, en fait elle n'avait que très peu à faire de cet enfant et aucun réel amour n'était né pour lui. C'est pour cela qu'Amarillys accoucha dans la même ville où se trouvait Alexandre pour pouvoir lui laisser l'enfant. Elle écrit une lettre destinée au père et raconta dedans la soirée où ils s'étaient rencontrés, la nuit passée, elle expliqua aussi le fait qu’elle était sorcière et que c'était pour cela qu’elle ne pouvait pas garder l'enfant et elle le mit en garde que leur fille puisse être pareille. Elle ne signa pas, avait posé la lettre sur son lit et avait transplané.
Il lui arrivait des fois de penser à cette fille qu’elle avait abandonnée, mais jamais elle ne regrettait son choix. Les années passèrent et Amarillys se fit tuer au cours d'une mission qui tourna mal. Une femme sans réelle histoire qui ne laissa rien derrière elle, juste un sentiment d'avoir fait ce qui devait être fait.
« … Ce n'est maintenant plus obligatoire que je vous parle de moi Docteur, maintenant vous savez pourquoi je suis totalement bizarre. C'est drôle, mais je ne regrette pas ma vie, certes que je ne l'aime pas, mais je ne regrette rien. Étonnant non ? Merci, vous venez de me faire comprendre quelque chose... Au revoir Docteur. »
| Pseudo• Un indice ? je suis un Serpentard, blond et égocentrique et un Poufsouffle Gay au visage adorable. Âge • 17 ans BIENTOOOOOOT Avatar • Kaya Scodelario Comment as-tu découvert le forum? •ici Avis sur le forum • ici Code du règlement • ici
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fiche par romane de Artsoul
Dernière édition par Alicia Vanderkanp le Dim 23 Juin - 13:53, édité 1 fois |
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