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 « On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime. » [Romain & Invités]

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Laila Clennam

Laila Clennam
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MessageSujet: « On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime. » [Romain & Invités]   « On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime. » [Romain & Invités] Icon_minitimeDim 18 Aoû - 23:20


Il faisait sombre. Sombre et froid. La brise semblait se glacer avec chaque vague que le bateau chevauchait. La jeune fille resserrait autour de ses bras nus le châle qu'elle aurait voulu emporter. Elle y rêvait, tout en observant la berge noire, traçant des yeux la silhouette des arbres. Ces formes lui rappelait l'Amazonie qu'elle n'avait jamais visitée. Ou bien le Nil. Pourtant elle se trouvait sur le Channel. Elle le savait, puisque de l'autre côté se retrouvait la France et son fiancé. S'appuyant au bastingage, elle tentait d'ignorer le vent qui raclait sa gorge ainsi que la froidure qui lui prenait dans les poumons avec chaque respiration qu'elle prenait. L'eau était sale, brune. Pourtant, chaque ondulation connaissait son mince sourire, petit et discret. Chaque vaguelette la rapprochait de la chaleur des bras forts qui allaient l'entourer dès son arrivée. Voilà qu'il l'attendait, debout sur le quai. Ses mains cessèrent de réchauffer ses bras et s'agitèrent dans les airs, en guise de salutation. Elle se précipita vers la passerelle pour pouvoir débarquer et le rejoindre le plus vite possible. Devant celle-ci, cependant, elle resta figée, incapable de la traverser. Il était devant, lui tendant les bras, la pressant de venir le rejoindre mais ses pieds refusaient de se déplacer. Le regard affolé, elle essayait de lui crier qu'elle essayait mais qu'elle n'y arrivait pas. Aucun son ne sortit. Bientôt les larmes commencèrent à couler.

Ce ne fut pas en douceur que Laila ouvrit les yeux. Paniquée, elle leva la tête subitement et se retourna, son coeur battant rapidement. À ses côtés se trouva un jeune homme endormi, les traits paisibles et détendus. Une vague de soulagement parcouru les veines de la jeune fille et elle s'étendit de nouveau dans les draps et les couvertures crèmes. Elle se mit face à face avec cet autre corps ensommeillé et mit sa main sur la joue de son fiancé, se rassurant. Celui-ci s'agita doucement mais ne bâtit aucunement des paupières. Elle profita de ce mouvement pour se rapprocher de lui et de s'enfoncer dans le creux entre son plexus solaire et son épaule puis passa une main dans sa chemise déjà déboutonnée afin de caresser ses côtes. La chaleur de sa peau semblait former une sorte de couche douillette d'air chaud tout le long de son corps et Laila se fit un plaisir à faire voyager sa main dedans. Elle sentit ensuite des doigts lui pianoter la taille avant de reconnaître la main qui leur appartenait la serrer plus fermement. Ses paupières abandonnèrent et elle se rendormit.

Plus tard, elle sentit un frisson et chercha en vain le bras qui lui avait servit de couverture. Romain s'était déjà levé et avait même laissé quelque fleurs de lavande sur son oreiller en guise de bonjour. Laila se mit sur son dos et étira ses bras, rayonnante de bonheur. Aujourd'hui serait un grand jour. Tous ses amis viendront témoigner de la promesse d'un engagement qu'elle et Romain se donneraient mutuellement. De plus, ce serait la fête. Des fleurs, des rubans, des lumières, des gâteaux. Ce serait une journée merveilleuse.

Se défaisant des draps devenus trop encombrants, Laila posa ses pieds nus sur le plancher de bois franc, se dirigeant vers la vanité qui appartenait à la mère de Marie-Lou. Elle était en bois de pin blanc avec trois panneaux de miroirs, reflétant plusieurs angles. Il y avait des pots de pommades moldues, ainsi que des fioles de parfums et toute une palette de rouges. Ce n'était pourtant pas ce qui intéressait la jeune fille ce matin. Le bassinet et la cruche d'eau l'attendait, elle qui souhaitait se rafraîchir le visage en s'éclaboussant joyeusement. Cette tâche finie, elle s'observa longuement dans la glace, se trouvant jolie. Laila n'était pas, de loin, une fille narcissique et jamais elle ne se vanterait des atouts physiques qu'elle pouvait avoir. Cependant, aujourd'hui, elle ne pouvait pas s'empêcher de penser que derrière une légère fatigue, une lueur nouvelle et vive brillait dans ses pupilles, qu'un rose plus doux brillait sous ses joues, que la blondeur de ses cheveux rayonnait de plus belle dans le soleil.  

***

Après un petit-déjeuner tardif, Laila avait voulu aider Victoria, France et Marie-Lou dans les préparatifs de la fête mais toute une armée de tantes et de grandes cousines avait déjà tout en main. En l'assurant qu'elle ne devait rient faire en ce grand jour, elles la congédièrent dehors, lui suggérant d'aller dans le pré cueillir des fleurs.

Lorsque j'avais votre âge, j'adorais m'étendre dans la brousse et respirer le parfum des fleurs. Je crois que vous êtes aussi romantique que je le suis, alors vous saurez apprécier cette activité badine !

Les sages paroles de Mamie-Lou. Elle dut subir les poussées véhémentes de la grand-mère de Romain jusqu'à ce qu'elle aille refermé la porte derrière elle. Obligée à ne rien faire, Laila tenta tout de même de retrouver Romain pour pouvoir plaider sa cause. Mais celui-ci avait disparu, ainsi que tous les autres hommes de la place, en comptant le père de Laila ainsi que son père à lui. Ils sont fous ces Français !

Elle erra donc dans le champ avoisinant, mâchant une gerbe de blé sauvage, cueillant des marguerites et des jacinthes. Après ce qu'il lui semblait être une éternité, la cloche de la maison sonna. Cette cloche rapatriait tout le monde à l'intérieur lorsqu'un repas était servit ou alors lorsqu'il y avait une urgence. En observant la position du soleil, la jeune fille déduis que ce n'était sûrement pas urgent et prit son temps pour le chemin du retour. Lorsqu'elle arriva, elle fut surprise de se faire emporter à toute vitesse dans sa chambre par une horde de femmes. La porte se referma derrière elles et quelqu'un la verrouilla et tout d'un coup tout le monde s'affairait à la maquiller, à la coiffer et à l'habiller. Essayez, vous autres, de se faire faire ça tout en même temps, et sans préavis ! Rougissant à tous les recoins du temps, Laila n'avait pas le temps de placer un mot mais après un petit bout de temps, France fit taire tout le monde et demanda calmement si la fiancée avait faim. Timidement, la concernée hocha de la tête, les larmes presque aux yeux, émotive au milieu de tout ce brouhaha. Mamie-Lou comprit que ce n'était pas la façon de faire les choses et poussa tout le monde hors de la chambre avant de sortir chercher quelque chose à manger. Seule France resta, brossant avec thérapie  les cheveux de la jeune blonde. Celle-ci essuya ses perles de larmes, s'excusant de son implosion émotive. France la rassura et lui tapota affectueusement l'épaule.

***

Le bourdonnement d'invités se faisait déjà entendre de dehors tandis qu'une fois de plus devant la glace, Laila s'observait une dernière fois. En général, de la tête aux pieds, sa réflexion lui plaisait. Ses cheveux blonds, courts et lisses se faisaient complimentés à la fois par le brun foncé de ses yeux et par la blancheur de sa robe. Celle-ci, d'une coupe empire, était garnie d'un ruban de soie bleu, attaché sous le buste, directement sur la taille haute de la jupe. Le tissus était à la fois chiffon, à la fois mousseline, taillé pour que, lorsque la jeune fille est immobile, il tombe droit et en plis mais que, dès qu'elle fait un mouvement, il s'étend, volatile et léger. Mais l'élément le plus important, selon la mannequine,  était qu'elle était absolument et délicieusement pieds nus. Si pour une fois, elle pouvait se permettre de se promener sans souliers, c'était bien maintenant. En Angleterre, les gens la trouveraient peut-être dévergondée mais en France, elle sentait qu'elle pouvait laisser aller ses folies et oublier ses responsabilités. Cela commençait avec l'exil des chaussures.

Prête, elle descendit en bas et apparut dans le jardin, alors que le thé se fit servir. Devant tous ses invités, elle rougit un peu mais sa gêne s'éclata bientôt en un sourire fabuleux lorsqu'elle repéra son fiancé qui se retourna pour l'apercevoir.


Spoiler:
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Romain P. Lesage
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Romain P. Lesage
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MessageSujet: Re: « On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime. » [Romain & Invités]   « On passe une moitié de sa vie à attendre ceux qu'on aimera et l'autre moitié à quitter ceux qu'on aime. » [Romain & Invités] Icon_minitimeMer 21 Aoû - 19:14




Je l'avais longtemps regardé. Elle dormait comme un ange sur son petit nuage, le visage paisible. J'avais du mal à réaliser le cap que nous allions franchir aujourd'hui. C'était encore hier ,dans mes souvenirs, que je l'avais rencontré pour la première fois. La jeune fille a la lune. C'était l'un des poèmes que j'avais retrouvé et qui ne pouvait que lui être adressé. Peu à peu la lumière du jour s'était engouffrée par les fenêtres restées entre ouvertes et je m'étais éclipsé de nos rêves pour revenir à la réalité. Les oiseaux commençaient leurs chants quand je déposais quelques fleurs de lavande sur mon oreiller et que je sortais sur la pointe des pieds de la chambre pour croisé mamie sur le palier. L'on aurait dit qu'elle m'avait attendu là toute la nuit. Lorsqu’elle me vit elle me prit aussitôt dans ses bras en versant quelques larmes. Elle répétait sans cesse. « Aujourd'hui, mon petit Romain devient un homme. » J'avais eu le droit à un copieux petit déjeuner en compagnie de Victoria qui semblait bien plus enjouée que durant ces quelques jours. Elle me posait des tas de questions sur ce que j'avais prévu, mais elle n'en sut rien. Je gardais pour moi ce petit moment d'émerveillement, je voulais le voir dans leurs yeux à tous. Pour l'heure j'avais laissé ma soeur entre ses madeleines pour m'accorder un moment avec dame nature. J'avais longé le manoir, puis suivis une petite allé de cailloux blancs avec lesquels je jouais au petit poucet étant petit, jusqu'à cette petite entrée de végétation.Là je trouvais l'étang calme et paisible comme à son habitude. J'avais retiré mes chaussons pour marcher dans l'herbe ,recouverte par des perles de rosées, jusqu'au ponton où je m'asseyais en plein milieu. J'étais toujours en pyjama, mais c'est ainsi que j'avais toujours le mieux apprécier ce lieu. J'écoutais chaque sons, chaque murmures, je profitais de chaque petites bouffées d'airs, regardais les poissons juste sous la surface et enviais leur aisance sous l'eau. Tout était si calme, alors qu'à quelque mètre seulement tout le monde s'activaient à droite et à gauche. Les consignes avaient été les suivantes ; « Toi tu te reposes et nous on travaille. » J'avais tous de même réussi à m'imposer d'un point de vue musical. Personne n'allait savoir à l'avance ce que j'allais jouer pour ma fiancée et je ne le savais même pas moi-même. Je souhaitais jouer le morceau qui me viendrait instantanément à l'esprit. Comme une révélation du dernier instant. Par révélation, j'avais une envie soudaine de voir ma maman. J'avais tout un tas de questions qui me venaient en tête. Je n'avais jamais aimé une autre personne que Laïla. Tous ceux que je connaissais avaient vécu plusieurs histoires d'amour, moi une seule qui m’emmenait à mes fiançailles. Je me levais du ponton tout en remettant mes souliers et courais presque vers la maison. Là j'eus la chance de trouver aussitôt celle que je cherchais. Le visage plein de farine, les mains dans la pâte, maman Lesage faisait la cuisine. En me voyant je crois qu'elle avait tout de suite compris pourquoi j'étais arrivé essouffler. Elle avait le sourire que faisaient toutes les mamans lorsque leur nouveau né faisait pour la première fois une bêtise à un tel point que je crus ressemblé à un poupin.Elle m'avait invité à m’asseoir à côté d'elle dans un coin de la pièce et je n'avais pas eu besoin de lui dire le moindre mot. « Mon chéri, tu seras parfait dans ce rôle. Tu as toujours été très attentionné, aimant et cela ne changera jamais. Tu es de ceux qui vouent leur vie à leur réussite familiale et sentimentale, jamais tu ne la décevras. Des erreurs, oui, tu en feras, mais jamais tu ne deviendras un homme comme ton père ou ton grand-père. » Ma maman avait toujours eu les bons mots et aujourd'hui elle le prouvait de nouveau. Je lui avais fait un énorme bisou sur la joue avant que je ne sois intercepté par un duo d'enfer. Monsieur Clennam et Monsieur Lesage faisait la paire. Me prenant chacun par un bras ils m'avaient conduit dans une chambre crème où se trouvait un imposant lit deux places recouvert par mes habits de cérémonie. Ma mère et ma grand-mère avaient tenu à s'occuper elles-mêmes de mes vêtements et ils étaient parfaits. Je n'avais pas échappé au costume bien évidemment, mais je trouvais la coupe très jolie. Il y avait un effet de queue de pie à l'arrière, mais sans cet effet de chic extrême. La couleur était blanc cassé, sauf pour la cravate et les chaussures qui elles étaient noires. Le papa de Laïla s'occuper de mes cheveux et mon père des plis de mes vêtements. Bien qu'il ait fallu que je soigne au maximum ma tenue je dénouais ma cravate que je retirais et defesais les trois premiers boutons de ma chemise. Je paraissais ainsi bien plus décontracter et plus naturel. Pour tout dire j'avais du mal à me reconnaître dans ce style, mais je devais surprendre. À trois nous n'avions pas mis plus de dix minutes à me préparer. J'avais eu le droit à une moquerie de mon père lorsque j'avais refusé de me parfumer de cette eau de Cologne trop forte et que j'avais mis un concentré de lavande sur mon poignet, mais ce moment avait été l'un des plus complice entre nous deux depuis bien longtemps. Je les avais remercié tous les deux par une accolade avant qu'ensemble nous apparaissions dans le jardin. Il y avait foule comme l'aurait dit ma soeur, mais aujourd'hui elle en faisait partie. Dehors tout semblé métamorphosé. Un nombre incalculable de tables et de chaises avaient était disposées pour former ce si traditionnel U conviviale. Nos deux places étaient très distinctement marquées par deux chaises qui ressemblaient à de véritables trônes blancs, au milieu du U. Chaque chaises étaient recouvertes d'un voile blanc maintenu par un ruban vert pomme , les tables recouvertes de nappes blanches, d'un chemin de table vert et de compositions florale de fleurs du jardin. Plus loin se trouver même une arche en bois, recouverte de fleurs de toutes les couleurs. Il y avait des fleurs partout dans de grands pots, mais il me manquait encore la plus belle. Je commençais à peine à saluer nos invités lorsque je vis les regards se river dans mon dos. Je savais que c’était elle. Doucement je me retournais pour voir cette éclosion de merveille. Elle était magnifique dans sa robe blanche et ce ruban bleu. C'était comme si je me trouvais déjà au paradis.J'avais la chair de poule de la voir ainsi. C'était une tout autre vision d'elle que c'elle de ce matin dans ses draps. Elle ne ressemblait pas à cette petite chose fragile qui c'était blotti contre moi cette nuit. Elle avait tout d'une vraie femme, son sourire était charmant et je mourais d'envie de la prendre dans mes bras. Je ne m'en fis pas prié, j'allais instantanément la serrer contre moi en la soulevant et la faisant tournée. Tout le monde s’accorda sur des bruits d'exclamation de joie, pendant que mes yeux se perdaient dans les siens. Je n'avais plus de doute, plus peur, j'étais simplement heureux. J'étais persuadé que moi et Laïla allions vivre un conte de fée jusqu'à la fin. Tout en glissant mes doigts entre les siens je lui disais que je l'aimais avant que je ne fasse apparaître discrètement une rose rouge sans aucunes épines que je lui glissais dans la main. Une rose qui vivrait de ma magie, sans qu'elle ne puisse un jour fané, pas jusqu'à ce que je monte au ciel.




               
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